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Lorsque Nokia a enfin décidé en 2010 d’abandonner progressivement Symbian et de revoir complètement sa stratégie dédiée aux smartphones, deux scénarios s’offraient à lui.
La première option, assez simple et finalement peu risquée était de s’engouffrer dans la brèche Android et profiter d’un écosystème déjà puissant. La seconde, plus courageuse, était de tout miser sur le naissant Windows Phone de Microsoft.
On connaît la suite de l’histoire, Nokia a fait confiance à Redmond et représente aujourd’hui plus de 80% des ventes de Windows Phone dans le monde. Reste que les volumes sont encore faibles, le finlandais n’aurait-il pas accéléré son redressement en compagnie du robot vert ?
"Deux dindes ne font pas un aigle", ironisait à l’époque Vic Gundotra de Google sur Twitter. Mais pour Stefen Elop, p-dg du fabricant, le fait de ne pas choisir Android était justifié et il n’y pas de regrets à avoir. Il s’en explique d’ailleurs aujourd’hui dans un entretien accordé au quotidien britannique The Guardian.
"Je suis extrêmement satisfait de la décision qui a été prise. A l’époque, nous estimions qu’il y avait un risque très élevé qu’un seul fabricant puisse dominer l’univers Android. Et nous savions qui serait ce fabricant. Nous savions que nous étions en retard et nous savions qu’une multitude d’autres acteurs allaient également rejoindre Android", explique le p-dg qui sans le nommer évoque bien sûr Samsung.
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Par: MKM
L'équipe d'InfoPeuple
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